CINA Nel 1925 nasce la prima vera missione in senso tradizione con l’offerta di Propaganda Fide di una vasta zona da evangelizzare in Cina e partono i primi missionari per l'Oriente per fondare la missione di Yi-Shien, 130 chilometri a sud di Pechino. Li guidava allora p. Luigi Fantozzi, già consigliere generale dimessosi per seguire la vocazione missionaria. Del gruppo facevano parte il prevosto di Milano p. Tarcisio Martina, p. Enrico Adami, da 15 anni missionario in Brasile, e p. Angelo Caimi. Prima della partenza, il vescovo di Verona, mons. Gerolamo Cardinale, consegnò ai nuovi missionari il crocefisso nella chiesa di S. Maria della Scala con grande afflusso di gente. In 25 anni di attività furono 21 gli Stimmatini che lavorarono come missionari in Cina. Alla loro partenza, attorno agli anni 50 avvenuta in conseguenza della rivoluzione comunista, lasciavano nella missione 12 sacerdoti cinesi (4 erano morti prima, ancora giovani) un istituto di suore fondate da mons. Martina divenuto nel frattempo prefetto apostolico di Yi-hsien e delle comunità cristiane ben formate che assommavano in tutto a 6000 cristiani. Nela prefettura erano sepolti anche tre missionari stimmatini: p. Tarcisio Pesamosca morto poco dopo l’ordinazione nel 1935, per Erminio Pojer e p. Valerio Tommasi. Nel 1950, all’avvento del regime comunista di Mao Tse Tung, tutti i missionari vengono espulsi tranne mons. Martina che viene imprigionato e rimarrà in carcere fino al Natale del 1954. Nel 1952, molti dei missionari espulsi dalla Cina chiedono di partire per la Tailandia. Fondano alcune missioni prima a Phuket, poi a Ranong e Trang, ed infine a Sarm Pran, alle porte della capitale Bangkok, dove avviarono un fiorente seminario stimmatino che ha già dato frutti abbondanti. Oggi la Tailandia è una Provincia autonoma, chiamata Stella del mattino, con una trentina di confratelli tra preti, fratelli e studenti professi: una nuova primavera alle porte della Cina. SUD AFRICA (1960) La vera linea che segna il cambiamento di idea di “missione” all’interno dell’Istituto, avviene nel 1960, con la fondazione della prima missione africana. I primi quattro confratelli (i padri Lino Inama, Dario Wegher, Primo Carnovali e fratel Giuseppe Modena) partono per il Sud Africa e pongono la loro residenza a Mmakau. E’ significativo il luogo perché si trova in zona nera dove i bianchi non possono risiedere. Le ferree leggi razziali stabiliscono aree abitative per bianchi e per neri rigorosamente separate. La presenza è tollerata dalle autorità governative e da qui parte tutta una serie di iniziative pastorali e sociali che daranno un’impronta profonda a tutta la zona a Nord di Pretoria, la zona dello Winterveld, una delle più povere di tutto il Sud Africa e delle più violente a causa dell’apartheid. Essi avviarono subito un'opera di dialogo fra le comunità locali e quelle italiane, perché potessero camminare insieme nella fede e nella condivisione. Si impegnarono fin da subito anche per l'abbattimento delle discriminazioni fondate sul colore e sulla classe sociale. Dovettero anche impegnarsi nell'aiuto delle persone che si spostavano verso la città in cerca di un lavoro nel campo dell'industria ma spesso erano impreparate alla nuova e caotica situazione cui andavano incontro. Le difficoltà prima a causa dell’apartheid, poi della violenza che colpisce ad ogni livello, sono sempre state grandi ma la congregazione ha avuto un tale sviluppo che oggi è diventata Vice Provincia con una ventina di confratelli che vengono oltre che dall'Italia anche dal Lesotho, dal Malawi, dal Botswana e dal Sud Africa. Drammatica è stata l’uccisione di p. Michele l’8 dicembre scorso. Ora superiore della vice provincia è p. Gianni Piccolboni.

Chine En 1925, la première véritable mission est née dans une tradition avec l'offre de propagande d'une grande zone à évangéliser en Chine et les premiers missionnaires pour l'Est Début de la mission de Yi-Shien, à 130 kilomètres au sud de Pékin. Il les a ensuite guidés p. Luigi Fantozzi, ancien conseiller général à suivre la vocation missionnaire. Le groupe de Milan faisait partie du groupe. Tarcisio Martina, p. Enrico Adami, pendant 15 ans missionnaire au Brésil, et p. Angelo Caimi. Avant le départ, l'évêque de Vérone, Mgr. Gerolamo Cardinale, a remis aux nouveaux missionnaires le crucifix de l'église de S. Maria della Scala avec un grand afflux de personnes. En 25 ans d'activité, il y avait 21 stigmatini qui travaillaient comme missionnaires en Chine. À leur départ, vers les années 1950 à la suite de la révolution communiste, 12 prêtres chinois sont partis dans la mission (4 étaient morts auparavant, encore jeunes) une institution de religieuses fondée par Mgr. En attendant, Martina est devenue le préfet apostolique de Yi-Hsien et des communautés chrétiennes bien formées qu'ils ont pris 6000 chrétiens en tout. La préfecture de Nela a également été enterrée trois missionnaires stigmatini: p. Tarcisio pesamosca est décédé peu de temps après l'ordination en 1935, pour Erminio Pojer et p. Valerio Tommasi. En 1950, à l'avènement du régime communiste de Mao Tse Tung, tous les missionnaires ont été expulsés à l'exception de Mgr.Martina qui est emprisonnée et restera en prison jusqu'à Noël 1954. En 1952, de nombreux missionnaires expulsés de Chine demandent à partir pour la Thaïlande. Ils ont trouvé des missions d'abord à Phuket, puis à Ranong et Trag, et enfin à Sarm Lunch, aux portes de la capitale Bangkok, où ils ont commencé un séminaire florissant de stigmatino qui a déjà donné des fruits abondants. Aujourd'hui, la Thaïlande est une province autonome, appelée Stella del Mattino, avec une trentaine de confrères entre prêtres, frères et étudiants professés: un nouveau printemps aux portes de la Chine. Afrique du Sud (1960) La vraie ligne qui marque le changement d'idée de «mission» au sein de l'Institut, a lieu en 1960, avec le fondement de la première mission africaine. Les quatre premiers confrères (les pères Lino Inama, Dario Wegher, les premiers Carovali et Fratel Giuseppe Modène) partent pour l'Afrique du Sud et placent leur résidence à Mmakau. L'endroit est significatif car il est situé dans la zone noire où les blancs ne peuvent pas résider. Les lois sur le fer racial établissent des zones de logement pour les blancs et séparent strictement les Noirs.La présence est tolérée par les autorités gouvernementales et à partir d'ici toute une série d'initiatives pastorales et sociales qui donneront une profonde empreinte à toute la région au nord de Pretoria, la région de Winterveld, l'une des plus pauvres de toute l'Afrique du Sud et la plus violente en raison de l'apartheid. Ils ont immédiatement commencé une œuvre de dialogue entre les communautés locales et italiennes, afin qu'ils puissent marcher ensemble dans la foi et le partage. Ils se sont immédiatement engagés également à la réduction de la discrimination fondée sur la couleur et la classe sociale. Ils ont également dû s'engager dans l'aide des personnes qui ont déménagé en ville à la recherche d'un emploi dans le domaine de l'industrie mais qui n'étaient souvent pas préparées à la situation nouvelle et chaotique qu'ils ont été rencontrée. Les difficultés d'abord en raison de l'apartheid, alors de la violence qui affectent à tous les niveaux, ont toujours été formidables, mais la congrégation a eu un tel développement que aujourd'hui est devenu vice-province avec une vingtaine de confrères qui proviennent non seulement d'Italie également du Lesotho, du Maliou, du Botswana et de l'Afrique du Sud. Dramatique était le meurtre de p. Michele le 8 décembre dernier. Supérieur de la province adjointe est p. Gianni Piccolboni.