COSTA D’AVORIO (1967) Gli Stimmatini sono arrivati in Costa d’Avorio nel 1967 con p. Oscar Zamburlini e p. Alberto Fontana e si stabilirono ad Aboisso. Dopo un anno arrivarono p. Giuseppe Bonomi, che diede inizio alla parrocchia di Ayamé, e tre studenti di teologia: Flavio Ferrari, Giuseppe Schiavo e Angelo Simion. Nel 1973 arrivarono anche p. Lino Poffe, P. Assuero Mascanzoni e le suore Poverelle di Bergamo che iniziarono con quattro comunità religiose: Aboisso, Ayamé, Mafferè ed Adiaké. All’inizio la situazione era molto precaria. Questa zona era stata evangelizzata dai Missionari francesi che però, dato il loro ridimensionamento, stavano lasciando. Gli Stimmatini stavano cercando una presenza diversa per essere al servizio della Chiesa nel Mondo. Gli Stimmatini sono attualmente presenti in tre comunità: ad Aboisso seguono la locale parrocchia e animano la Radio Paix Sanwi; ad Anuonkua-koutè gestiscono una casa di formazione e seguono due parrocchie; ad Ayamé collaborano nella gestione dell'ospedale, gestiscono il Foyer che accoglie i giovani studenti del circondario, seguono alcuni asili nei dintorni oltre alla parrocchia. TANZANIA (1975) Gli Stimmatini sono arrivati in Tanzania nel 1975 con p. Cesare Orler e la sede della missione fu posta ad Hombolo; nel 1977 giunse p. Sandro Di Tullio. Arrivarono anche alcune comunità di suore, e nel 1981 iniziò anche l'opera di alcuni volontari laici. All’inizio la situazione fu difficile: la Tanzania, allora come oggi, era un Paese molto povero, dove la popolazione lottava quotidianamente contro la fame e le malattie; le comunità da assistere erano molte, e notevoli le distanze da coprire per andare incontro a tutti. In un primo tempo gli Stimmatini si stabilirono ad Hombolo, ove furono edificate la casa delle Suore, quella dei Padri e la chiesa, fu piantato un vigneto con la cantina, fu edificato un mulino, furono avviati una scuola di taglio e cucito, un allevamento di maiali e animali domestici, e alcuni asili nel circondario. Furono costruite anche la casa per le Suore di Madre Teresa ad Huruma e alcune casette per i malati di lebbra a Zepisa. Alla fine del 1988 la Missione tornò nelle mani del Vescovo, e gli Stimmatini si trasferirono dapprima a Kisanga, ove fu costruita e avviata una scuola elementare, e quindi, dal 1996, a Msolwa, ove erano già stati costruiti e messi in funzione un dispensario e una scuola. Nel 2001 a Msange, poco lontano da Msolwa, è entrato in funzione un piccolo ospedale. La morte prematura di p. Cesare prima e l'uccisione violenta di p. Giuseppe Schiavo poi misero in pericolo la stessa sopravvivenza della missione che però è ripartita di slancio dopo gli arrivi dal Sud Africa di p. Daniele Giacomelli e p. Giuliano Melotto.

Côte d'Ivoire (1967) Les stigmatini sont arrivés en Côte d'Ivoire en 1967 avec p. Oscar Zamburlini et p. Alberto Fontana et s'est installé à Abese. Après un an, ils sont arrivés p. Giuseppe Bonomi, qui a lancé la paroisse d'Ayamé, et trois étudiants de théologie: Flavio Ferrari, Giuseppe Schiavo et Angelo Simion. En 1973, est également venu p. Lino Poffee, P. Assuero Mascanzoni et les sœurs Poverelle de Bergame qui ont commencé avec quatre communautés religieuses: Abese, Ayamé, Mafferè et Adiaké. Au début, la situation était très précaire. Cette zone avait été évangélisée par les missionnaires français qui, cependant, ont reçu leur réduction des effectifs, partaient. Les stigmatini cherchaient une présence différente pour être au service de l'Église dans le monde. Les stigmatini sont actuellement présents dans trois communautés: la paroisse locale est suivie par Abaisso et anime la radio Paix Sanwi; À Anuonkua-Koutè, ils gèrent une maison d'entraînement et suivent deux paroisses; Ayamé collabore à la gestion de l'hôpital, ils gèrent le hall qui accueille les jeunes étudiants du district, suivent des jardins d'enfants dans l'environnement en plus de la paroisse. Tanzanie (1975) Les stigmatini sont arrivés en Tanzanie en 1975 avec p. Cesare Orler et le siège de la mission ont été placés à Hombolo; En 1977, il est arrivé p. Sandro di Tullio.Certaines communautés de religieuses sont également arrivées et, en 1981, le travail de certains bénévoles laïcs a également commencé. Au début, la situation était difficile: la Tanzanie, alors aujourd'hui, était un pays très pauvre, où la population a lutté quotidiennement contre la faim et les maladies; Les communautés à voir étaient nombreuses, et remarquables les distances à couvert pour rencontrer tout le monde. Au début, les stigmatini se sont installées à Hombolo, où la maison des sœurs, celle des pères et de l'église ont été construites, un vignoble avec la cave a été planté, un moulin a été construit, une école de coupe et de couture a été lancée, une reproduction de porcs et d'animaux de compagnie, et des enfants de la maternelle dans le district. La maison pour les religieuses de Mère Teresa à Huruma et certaines maisons pour les patients de lèpre à Zepisa ont également été construites. À la fin de 1988, la mission est revenue aux mains de l'évêque, et les stigmatini ont déménagé d'abord à Kisanga, où une école primaire a été construite et a commencé, et donc, depuis 1996, à Msolwa, où un dispensaire et une école avaient déjà été construits et exploités. En 2001, Mme, non loin de Msolwa, est entré en service dans un petit hôpital. La mort prématurée de p. César d'abord et le meurtre violent de p. Giuseppe Schiavo a ensuite mis en danger la même survie de la mission qui, cependant, a recommencé après les arrivées d'Afrique du Sud de p.Daniele Giacomelli et p. Giuliano Melotto.